La sophro


En quelques mots…

La sophrologie

 

Après dif­fé­rents voyages à tra­vers le monde, le neu­ro­psy­chiatre Alfon­so Cay­cé­do, en quête de solu­tions effi­caces créé dans les années 60 une méthode ins­pi­rée et conden­sée de dif­fé­rents cou­rants : Yoga, hyp­nose, Zen Japo­nais, média­tion, Phé­mé­no­lo­gie exis­tan­cielle, méthode Couet, Vittoz.

Dabord dis­pen­sée par les méde­cins, uti­li­sée par les mili­taires, puis par les spor­tifs de haut niveau, la sophro­lo­gie s’est démo­cra­ti­sée cette der­nière décen­nie pour s’é­lar­gir au grand public. Elle offre une réponse à un malaise socié­tal, en per­met­tant à cha­cun de vivre son contexte de la meilleure façon qui soit.

C’est à tra­vers des outils simples et non moins effi­caces (la res­pi­ra­tion, le relâ­che­ment des ten­sions cor­po­relles, le focal sur le posi­tif), que le sophro­ni­sant pour­ra faci­le­ment s’approprier la méthode afin de l’utiliser par­tout, tout le temps.

Il s’agit d’une thé­ra­pie dite brève, qui per­met à tout un cha­cun d’améliorer sa qua­li­té de vie, sa rela­tion à soi, et aux autres.

Une technique qui repose sur 3 piliers :

La respiration

Seule fonc­tion du sys­tème auto­nome que nous pou­vons pilo­ter, la res­pi­ra­tion est un outil doté d’un incroyable poten­tiel.
Bien maî­tri­sée, elle agit sur la fré­quence car­diaque, la ten­sion arté­rielle, les ten­sions mus­cu­laires, l’élimination des déchets, la diges­tion… Reprendre le contrôle de sa res­pi­ra­tion, c’est reprendre le contrôle de sa vie, en ralen­tis­sant le flot des pen­sées et en s’ancrant dans le moment présent. 

La détente corporelle

Sous l’effet du stress, des ten­sions mus­cu­laires s’accumulent et se cris­tal­lisent dans des zones du corps qui deviennent dou­lou­reuses. La décon­trac­tion mus­cu­laire per­met de prendre conscience de ces ten­sions, phy­siques et men­tales, afin de relâ­cher à la fois corps et esprit, et ain­si retrou­ver un équi­libre géné­ral. En concen­trant son atten­tion sur les sen­sa­tions du corps, on se libère de nos pen­sées enva­his­santes pour n’écouter que nos res­sen­tis cor­po­rels qui guident nos choix avec justesse. 

L’imagerie mentale

Notre corps ne fait aucune dif­fé­rence phy­sio­lo­gi­que­ment entre ce que nous vivons réel­le­ment et ce que nous nous visua­li­sons en train de faire. Les effets que peuvent pro­vo­quer nos cau­che­mars en sont le meilleur exemple ! Ain­si, lors­qu’un évè­ne­ment nous angoisse, le fait de visua­li­ser son dérou­le­ment de manière posi­tive, nous per­met­tra d’aborder plus serei­ne­ment cet évé­ne­ment, notre cer­veau ayant enre­gis­tré dans sa mémoire que nous l’a­vons déjà réa­li­sé positivement. 

La sophro­lo­gie est acces­sible à tous — enfants, ado­les­cents, adultes, séniors – et s’adapte à cha­cun en fonc­tion de son âge, sa mobi­li­té, ses pro­blé­ma­tiques et ses objec­tifs. Elle peut être pra­ti­quée en groupe ou en indi­vi­duel, en posi­tion assise ou debout, et dans cer­tains cas, allon­gée. Elle ne néces­site ni tenue, ni maté­riel particulier. 

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Incu­ba­teur d’équilibre, cata­ly­seur d’harmonie

Lae­ti­tia Cha­zal, Sophro­logue , Pré­pa­ra­trice mentale


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